Belinda Cannone et la dévastation du monde

Les Automn’Halles 2021 avait reçu la romancière et essayiste Belinda Cannone
pour son livre Le nouveau nom de l’amour.
Aujourd’hui, elle publie dans le journal en ligne Reporterre une tribune intitulée La dévastation du monde, une blessure intime, qui fait écho au dernier rapport du GIEC.
https://reporterre.net/La-devastation-du-monde-une-blessure-intime
"Le monde n’est pas seulement notre contenant, mais notre maison commune avec tout le reste du vivant. Aussi, sa dévastation actuelle est une tragédie qui blesse l’intime, dont le concept de solastalgie peine à décrire l’ampleur. …"